Un concert mémorable : Ali Amrane jette l'ancre à Metz

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L’artiste:
Ali Amrane, jeune chanteur qui a l’age de sa passion. Sa carrière précoce est tout sauf improvisée. Elle n’est pas le fruit du hasard, pas non plus la résultante d’un concours de circonstances auquel le destin a donné un coup de pouce. Le chant, la musique et la scène sont des témoins du temps qui passe. Ils sont pour sa jeunesse ce qu’est la parole au silence.

Au travers de son être transpire des influences diverses des Dire Straits du Hendrix… écoutés dans sa jeunesse. Il n’a pas une double culture comme disent d’autres qui succombent aux raccourcis intégrationnistes. Il a une culture et une identité fortes qu’il confrontent aux autres qu’il trainent comme un bâton de pèlerin. Il n’évolue pas à l’ombre des maîtres et des maîtres-penseurs. Il n’érige pas le copié-collé pour l’élever au rang d’art, pathétique. Pour exister il a dû « assassiner » ses maîtres pour mieux les représenter se les accaparer. Il n’appose pas sa voix sur une boîte à rythme pour amasser gros en alimentant une médiocrité artistique qui dure le temps d’un feu de paille. Ali chante comme il voyage, sans fortune.

Le concert:
sur scène il est comme qu’on dirait un volcan éteint, qui soudain fait irruption. Un look décontracté qui pour certains ne paye pas de mine: des baskets bon marché, un bleue-jean usé, un tee-shirt noir et un feu qui couve.

Le public cosmopolite et transgénérationnel a su apprécier le spectacle riche en rythme de cet enfant de scène, celle du rock & bleus kabyle. Le programme rappel les ballades irlandaises, du texte du sens, des rythmes, des rires et des larmes.

Entamé comme une complainte avec « akka id ammur » titre phare du dernier album l’ambiance gagne lentement la salle. Au programme une thématique d’un mélange détonnant qui mêle allégrement le socialement tragique et le politiquement incorrecte. Il raconte les maux et les joies de ces contemporains en chansons. Accompagné à la basse de l’ami de toujours Fateh et de son nouveau producteur Anglais, la prestation des musiciens est à la hauteur du talent de l’artiste.

A la fois attentif et festif le public n’a pas boudé le plaisir de faire quelques tours de piste. Une cohue indescriptible envahit le devant de la scène pour improviser un espace à mi-chemin entre une piste de danse et la cour des miracle d’une Zaouïa. Le récital se termine dans une ambiance de saloon aux sonorités kabyles auxquelles se sont mêlés les sons gnawi, chawi…

Seul point noir, la salle dépourvue de voie d’aération suffisante pour permettre la circulation de l’air. Prévu initialement dans la cour de la chapelle avec la possibilité de repli sur la salle en cas de mauvais temps. Le concert s’est déroulé à l’intérieur malgré des conditions météo plus que favorable.

Lentement mais surement Ali fait son bonhomme de chemin, dans un avenir proche, on dira qu’il y a du Ali Amrane dans cette musique, la musique Kabyle. Tannemirt l’artiste.

14 Commentaires

  1. Qu’est-ce qu’il fait ce Zahir Boukhelifa sur ce site?
    C’est une raclure, ce Zahir. Un agent de la DRS. C’est un ami de Stéphane vulehnek de Kabyle.com

  2. Qu’est-ce qu’il fait ce Zahir Boukhelifa sur ce site?
    C’est une raclure, ce Zahir. Un agent de la DRS. C’est un ami de Stéphane vulehnek de Kabyle.com

  3. {{« Culture officielle en Kabylie : des dances folklriques pour occulter assassinats, rapts et incendies volontaires » et colonialisme arabo-islamo-terroriste}}

    « M. Ould Ali Lhadi, personnage perclus transformé en parangon de la culture, est l’exécutant zélé de la politique d’acculturation de la Kabylie consubstantielle du régime algérien depuis sa prise de pouvoir sanglante en 1962. Bardé de titres usurpés et cumulard de fonctions à l’envi, il est le représentant personnel et zélé de Khalida Toumi, Ministre de la Culture de Bouteflika qui dévolue son énergie à la propagation de l’arabisme et de l’islamisme et subséquemment, à l’extinction de la Kabylie en tant que nation. En cela, ces deux tâcherons entament la réalisation d’un certain programme spécial pour la Kabylie énoncé publiquement par Ali Benhadj lors d’un meeting du Fis en 1992.

    Ould Ali Lhadi donc, de surcroît commissaire de ledit festival, en présence de représentants du wali de Tizi Ouzou, de l’APW, du chef de daïra, de députés, des élus et du président de l’APC de Tizi Ouzou, a déclaré lui, à l’ouverture du Festival culturel arabo-africain de danses folkloriques “ que “ Tizi Ouzou sera, durant cette semaine, une aire de fête, de joie, d’amitié et d’hospitalité qui ne manqueront pas de se propager vers d’autres localités de la wilaya ”. Il faut se souvenir que Bouteflika, dans l’infini amour qu’il voue aux Kabyles, a décidé de domicilier cette haute manifestation en Kabylie.

    Selon Liberté, le « journal sécuritaire » comme l’a appelé le plus célèbre de ses chroniqueurs, cette grandiose manifestation verra la participation de 9 troupes étrangères (Palestine, Tunisie, Côte d’Ivoire, Jordanie, France, Syrie, Sénégal, Mali et Guinée) ainsi que 9 autres troupes “nationales” (Imsouhal, Béni Yenni, Illizi, Khenchela, Sidi Bel-Abbès, Mascara, Constantine, Tlemcen et Tizi Ouzou). Ainsi, les heureux aborigènes d’Algérie qui seront désignés à la figuration dans le spectacle auront la chance inouïe d’apprécier 5 jours durant (du 17 au 21 juillet) les entrechats et autres galipettes exécutées par les artistes de ces troupes. Le propos ne concerne pas la performance des acteurs de ces troupes qui doivent posséder sûrement des talents appréciables, ni le bien-fondé des motivations à leur participation. La question s’adresse aux dirigeants de ces troupes “ algériennes ” qui participent en bonne connaissance de cause à une entreprise de normalisation et de banalisation de la Kabylie à travers leur participation à un “festival culturel arabo-africain”, qui est, en la circonstance, une provocation supplémentaire. Car ces dirigeants de troupes ne doivent pas ignorer que la culture du peuple kabyle, son histoire, ses us et coutumes, ses héros, ses mythes fondateurs et ses légitimes aspirations sont flétris au quotidien par les radios, les télévisions et les journaux de l’état algérien. On imagine l’embarras des innocents jeunes acteurs des troupes d’Imsouhal, Béni Yenni et Tizi Ouzou que leurs dirigeants ont embarqué contre une obole, dans une représentation aliénée du déni de leur propre culture.

    Imbattable dans l’innovation en matière de servilité, la secte Toumi-Ould Ali tend à récupérer au profit de Bouteflika, toutes les initiatives culturelles indépendantes émanant des citoyens de Kabylie. C’est ainsi qu’elle a voulu faire main basse sur le Festival de la Robe Kabyle qui s’est déroulé les 30 & 31 juillet au village Iḥemziyen à Illula Umalu. En vain ! Dans la foulée, elle persiste à vouloir phagocyter une autre initiative culturelle de l’Association Tanekkra et le Comité du Village Mareghna, le Festival de la Chanson Moderne qui s’y déroule du 5 au 7 août 2010.

    Dans cette intrusion à Mareghna, il ne viendrait, bien entendu, à personne l’idée de croire que Mme la Ministre et M. le Directeur de la Culture de Tizi Ouzou puissent s’associer à un hommage, dans son village, à Ferhat Mehenni, le Président du Gouvernement Provisoire Kabyle, qui a, pour rappel, obtenu avec son groupe Imaziγen Imula, le 1er prix du festival du même nom organisé à Alger en … 1973.

    Personne n’est dupe. Ni les responsables des associations Tagmat d’Ihemziyen, de Tanekkra de Maraghna et ni aucune citoyenne ou citoyen de ces villages. De toute façon, le pseudo sponsoring du Ministère de la Culture et de la Direction de la Culture de Tizi Ouzou ne fait en aucun cas d’eux les parrains de ces manifestations culturelles décidées, organisées et exécutées par des citoyennes et citoyens kabyles jaloux de leur art, de leur culture et de leur liberté.

    Après tout, les quelques sous que peuvent mettre ces institutions en Kabylie n’est qu’une infime partie que l’État algérien doit à une région où il récolte la plus grosse partie de ses ressources financières hors hydrocarbures par une fiscalité féodale qui lui est spécifiquement et exclusivement appliquée. Pour exemple, rappelons que dans la wilaya de Djelfa, dans les factures d’électricité des ménages, il y est mentionné explicitement une rubrique dite “aide de l’état” conséquente alors qu’en Kabylie, outre qu’il n’y a aucune espèce d’aide de l’état, les factures sont artificiellement gonflées au point où elles obèrent gravement le budget des ménages. Cette réalité, tous les élus municipaux, de l’APN et du Conseil de la Nation de l’Algérie la connaissent et aucun n’a, jusqu’à présent, osé dénoncer cette injustice.

    Akfadu, le 6 août 2010 »

    [ADERVAL N AT WEGHLIS->http://www.afrique-du-nord.com/article.php3?id_article=2192]

  4. {{« Culture officielle en Kabylie : des dances folklriques pour occulter assassinats, rapts et incendies volontaires » et colonialisme arabo-islamo-terroriste}}

    « M. Ould Ali Lhadi, personnage perclus transformé en parangon de la culture, est l’exécutant zélé de la politique d’acculturation de la Kabylie consubstantielle du régime algérien depuis sa prise de pouvoir sanglante en 1962. Bardé de titres usurpés et cumulard de fonctions à l’envi, il est le représentant personnel et zélé de Khalida Toumi, Ministre de la Culture de Bouteflika qui dévolue son énergie à la propagation de l’arabisme et de l’islamisme et subséquemment, à l’extinction de la Kabylie en tant que nation. En cela, ces deux tâcherons entament la réalisation d’un certain programme spécial pour la Kabylie énoncé publiquement par Ali Benhadj lors d’un meeting du Fis en 1992.

    Ould Ali Lhadi donc, de surcroît commissaire de ledit festival, en présence de représentants du wali de Tizi Ouzou, de l’APW, du chef de daïra, de députés, des élus et du président de l’APC de Tizi Ouzou, a déclaré lui, à l’ouverture du Festival culturel arabo-africain de danses folkloriques “ que “ Tizi Ouzou sera, durant cette semaine, une aire de fête, de joie, d’amitié et d’hospitalité qui ne manqueront pas de se propager vers d’autres localités de la wilaya ”. Il faut se souvenir que Bouteflika, dans l’infini amour qu’il voue aux Kabyles, a décidé de domicilier cette haute manifestation en Kabylie.

    Selon Liberté, le « journal sécuritaire » comme l’a appelé le plus célèbre de ses chroniqueurs, cette grandiose manifestation verra la participation de 9 troupes étrangères (Palestine, Tunisie, Côte d’Ivoire, Jordanie, France, Syrie, Sénégal, Mali et Guinée) ainsi que 9 autres troupes “nationales” (Imsouhal, Béni Yenni, Illizi, Khenchela, Sidi Bel-Abbès, Mascara, Constantine, Tlemcen et Tizi Ouzou). Ainsi, les heureux aborigènes d’Algérie qui seront désignés à la figuration dans le spectacle auront la chance inouïe d’apprécier 5 jours durant (du 17 au 21 juillet) les entrechats et autres galipettes exécutées par les artistes de ces troupes. Le propos ne concerne pas la performance des acteurs de ces troupes qui doivent posséder sûrement des talents appréciables, ni le bien-fondé des motivations à leur participation. La question s’adresse aux dirigeants de ces troupes “ algériennes ” qui participent en bonne connaissance de cause à une entreprise de normalisation et de banalisation de la Kabylie à travers leur participation à un “festival culturel arabo-africain”, qui est, en la circonstance, une provocation supplémentaire. Car ces dirigeants de troupes ne doivent pas ignorer que la culture du peuple kabyle, son histoire, ses us et coutumes, ses héros, ses mythes fondateurs et ses légitimes aspirations sont flétris au quotidien par les radios, les télévisions et les journaux de l’état algérien. On imagine l’embarras des innocents jeunes acteurs des troupes d’Imsouhal, Béni Yenni et Tizi Ouzou que leurs dirigeants ont embarqué contre une obole, dans une représentation aliénée du déni de leur propre culture.

    Imbattable dans l’innovation en matière de servilité, la secte Toumi-Ould Ali tend à récupérer au profit de Bouteflika, toutes les initiatives culturelles indépendantes émanant des citoyens de Kabylie. C’est ainsi qu’elle a voulu faire main basse sur le Festival de la Robe Kabyle qui s’est déroulé les 30 & 31 juillet au village Iḥemziyen à Illula Umalu. En vain ! Dans la foulée, elle persiste à vouloir phagocyter une autre initiative culturelle de l’Association Tanekkra et le Comité du Village Mareghna, le Festival de la Chanson Moderne qui s’y déroule du 5 au 7 août 2010.

    Dans cette intrusion à Mareghna, il ne viendrait, bien entendu, à personne l’idée de croire que Mme la Ministre et M. le Directeur de la Culture de Tizi Ouzou puissent s’associer à un hommage, dans son village, à Ferhat Mehenni, le Président du Gouvernement Provisoire Kabyle, qui a, pour rappel, obtenu avec son groupe Imaziγen Imula, le 1er prix du festival du même nom organisé à Alger en … 1973.

    Personne n’est dupe. Ni les responsables des associations Tagmat d’Ihemziyen, de Tanekkra de Maraghna et ni aucune citoyenne ou citoyen de ces villages. De toute façon, le pseudo sponsoring du Ministère de la Culture et de la Direction de la Culture de Tizi Ouzou ne fait en aucun cas d’eux les parrains de ces manifestations culturelles décidées, organisées et exécutées par des citoyennes et citoyens kabyles jaloux de leur art, de leur culture et de leur liberté.

    Après tout, les quelques sous que peuvent mettre ces institutions en Kabylie n’est qu’une infime partie que l’État algérien doit à une région où il récolte la plus grosse partie de ses ressources financières hors hydrocarbures par une fiscalité féodale qui lui est spécifiquement et exclusivement appliquée. Pour exemple, rappelons que dans la wilaya de Djelfa, dans les factures d’électricité des ménages, il y est mentionné explicitement une rubrique dite “aide de l’état” conséquente alors qu’en Kabylie, outre qu’il n’y a aucune espèce d’aide de l’état, les factures sont artificiellement gonflées au point où elles obèrent gravement le budget des ménages. Cette réalité, tous les élus municipaux, de l’APN et du Conseil de la Nation de l’Algérie la connaissent et aucun n’a, jusqu’à présent, osé dénoncer cette injustice.

    Akfadu, le 6 août 2010 »

    [ADERVAL N AT WEGHLIS->http://www.afrique-du-nord.com/article.php3?id_article=2192]

  5. Comme vos breves ont l’air d’avoir du mal a acoucher d’une case d’un petit commentaire, je suis oblige de le faire ici car il concerne la JSK (Hanshisée, arabaisée, maraboutisée, islamisée, dékabylisée, zdimouhisée, bouteflikosée et izzanisée:

    « Aucune equipe de football algerienne n’as le sigle echourouk en arabe sur le dos de son maillot a l’exception de la JSK. C’est une belle victoire pour des anti-kabyles notoires. Bien sur thanks au sieur Hannachi. Il a vendu l’ame de la JSK. JE N »ACHETERAIS PLUS JAMAIS DE MAILLOT DE LA JSK »

    Tanmirt ayitmaten yayen itesen–ateset atset mazl elhal… franchement j’en ai marre de ces kabyles qui se laissent saillir comme des juments!

  6. Comme vos breves ont l’air d’avoir du mal a acoucher d’une case d’un petit commentaire, je suis oblige de le faire ici car il concerne la JSK (Hanshisée, arabaisée, maraboutisée, islamisée, dékabylisée, zdimouhisée, bouteflikosée et izzanisée:

    « Aucune equipe de football algerienne n’as le sigle echourouk en arabe sur le dos de son maillot a l’exception de la JSK. C’est une belle victoire pour des anti-kabyles notoires. Bien sur thanks au sieur Hannachi. Il a vendu l’ame de la JSK. JE N »ACHETERAIS PLUS JAMAIS DE MAILLOT DE LA JSK »

    Tanmirt ayitmaten yayen itesen–ateset atset mazl elhal… franchement j’en ai marre de ces kabyles qui se laissent saillir comme des juments!

  7. Azul, c’est clair, je n’ai aucune confiance envers zahir boukhelifa et ces articles foireux qu’il a commis sur kabyle.com…que fait-il ici?

  8. Peut-on nous expliquer ce que fait cet ennemi kabyle anti-MAK (zahir itchuren dezhir) sur ce site kabyle pro-MAK. Ou s’il est un repenti, ou est la loi qui lui accorde ce statut?

  9. Heuresement il y a encore des gens comme ceux qui ecrivent ce ce genre de commentaire et d’autres qui les valident (mes collegues zaama), si non la Kabylie aurait disparue depuis longtemps. Pour ma part la raclure, l’agent du DRS et puis quoi encore? je vous dis tenez vous avez presque atteint le fond, pour le reste il ne vous reste qu’à creuser. akka ihi ad nughal asmi ara tatwarrabim.

  10. azul ayaderval natwaghlis et mille merci pour ton commentaire pour moi c’est plus que un commentaire c’est une vrais analyse politique vu d’un angle culturelle.
    pour moi tu a réussi a démasquer et a débusquer les fossoyeurs de notre culture, de notre patrimoine et tu a met a nu les ensevelisseurs de notre identité.
    On mettant la culture a disposition d’une politique négatrice,obscurantiste et a disposition d’une mentalité ethnocidaire ces gents là que tu site ould ali, toumi ,sans oublie amara et compagnie , les commis de l’État les supplétifs de l’islamisme se rondes tous coupable de crimes contre l’humanité et de génocide culturel .
    c’est on peut tuer avec une hache comme le font les terroristes islamiste et c’est on peut tuer avec des balles explosives comme le font les gendarmes Algériens, on peut aussi tuer avec une plume on signant un arrêt de mort contre une personne ou contre une culture et son peuple.
    Grâce a des veilleurs avisé comme toi et Dieux sait qu’il y en a beaucoup, notre identité trois fois millénaire survivra a toutes les épreuves et les déconvenues que lui réserve ces ennemies d hier et d’aujourd’hui ,déclarer ou cacher.
    Et pour la fin je tiens a saluer l’art et le style d’ALI AMRAN
    vive la culture la KABYLE.
    Uvuray

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