Branle-bas de combat au pouvoir

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ALGER (Tamurt) – L’opération de lifting qu’a menée le gouvernement algérien ces derniers jours au sein des différentes institutions révèle à un plus haut degré le prurit d’un régime à court d’idées. Le limogeage de ministres et l’adoubement des walis et autres hauts gradés de l’armée ne peuvent remettre un pays sur les rails tant que la volonté politique n’y est pas.

Les sièges éjectables sont monnaie courante dans une Algérie engoncée dans un costume qui n’est pas à sa taille. La turpitude du pouvoir d’Alger laisse présager un vent de fronde qui est déjà sur les rails à en juger la kyrielle d’actions de rue au niveau de territoire algérien. Arborant un air de Janus à doubles visages, l’Algérie reste ce grand benêt à l’appétit féroce.

Les propos de l’ex-président français, Nicolas Sarkozy, faisant comparaître l’Algérie à un grand asile psychiatrique ne sont pas anodins, loin de cela. Le recours au changement de fusibles, dirigeants, ne peut être une panacée aux multiples maux qui secouent l’Algérie. Le discours biscornu des dirigeants algériens s’apparente à un malaise profond qui secoue le sérail, d’autant plus que la manne pétrolière est soumise à rude épreuve, notamment avec la dégringolade des prix de l’or noir.

Ce branle-bas de combat est synonyme d’affolement à telle enseigne que tous convergent à dire que l’Algérie est au bord de la faillite, si elle ne l’est pas déjà. À dessein d’éluder une descente aux enfers, le MAK s’inscrit dans une démarche courageuse et assumée à la fois.

L’autoritarisme du régime algérien est vilipendé de par nombreux pays et organismes internationaux, le jugeant indocile à l’écoute des revendications de son peuple. Malencontreusement, les gens du sérail font litière du bas peuple à telle enseigne que des milliers de jeunes préfèrent mourir en mer plutôt que de moisir dans un pays en déroute.

Amnay

4 Commentaires

  1. La clique arabo-marocaine qui tient le pouvoir depuis 1962 en Algerie se porte bien, merci. Pendant que la Kabylie se bat, le reste du pays continue a brouter l’herbe qui se rarifie. Jusqu’a quand vous me direz? Quand on broute on ne se rebelle pas .

  2. QUAND LE BÂTEAU COULE, LES RATS…..

    En effet, ce maquillage, cette mascarade, ces scènes tape à l´oeil , cette comédie macabre qui transforme un mort-vivant en héros et ces marionettes manipulées par les ficelles de la mafia arabo-fachiste avec un certain Saïd Bouteflika aux commandes de ces ficelles, tout ce théâtre est tellement pathétique que celà devient comique.

    Oho.nekki ur ssine°g walu !

    Le bâteau Algérie coule à vue d´oeil et les rats s´agitent, mais ces rats sont tellement rapaces qu´ils ne se contentent pas des milliards de dollars déjà volés au peuple, biens des Imazighens (gaz, pétrole ) , non tant que ce bâteau est encore au dessus de l´eau, ces rats s´acharnent à piller, voler, massacrer et hésitent encore et encore dans un manège incroyable.

    Dans un effort digne de rats enragés et surexités, les maîtres de cette mise en scène nous servent maintenant des remaniements de ci par là, en pratique remplacer des rats repus par d´autres rats présentés comme un renouveau histoire de nous jeter de la poudre aux yeux.

    Ainsi, du jour au lendemain le général X est remplacé par le général Y pour nous jeter encore plus de poudre aux yeux, l´opposition manipulée crie pour la forme et les rapaces continuent eux leur pillage car le bâteau coule.

    Ceci en ce qui concerne la comédie.

    Mais la tragédie de ce pays artificiel est elle bien réelle. Le poids de cette tragédie est telle que les citoyens sont tellement sonnés et paralysés qu´ils acceptent le fait de se faire diriger par un gouvernement fantôme, qui plus est une mafia de rats affamés.

    Ainsi le fait que les hôpiatux pourissent alors que des centaines de milliers de malades sont délaissés y compris les cancéreux, que les avions spéciaux transportent en urgence les membres de la mafia vers les cliniques huppées de France ou ailleurs pour des coôuts de dizines de millions d´Euros, au moindre malaise, que.., que..,
    non, personne ne réagit plus.

    La tragédie est telle que ce bâteau fantôme qui coule en plus, n´intéresse plus ses passagers.

    La réalité est que tout ce semblant de pays n´est qu´un mensonge .

    Le jour où il n´y aura plus de poisson dans le lac, pardon de pétrole, toute cette bâtisse pourrie dans ses fondements élevés dans le mensonge arabo-fachiste va s´écrouler.

    Ur-sul llin isleman °g -umda.

    Quand le bâteau coule, les rats se jettent dans l´eau, mais il s´agit des vrais rats qui ont au moins la dignité de sauter. Mais nos rats sont tellement dégénérés qu´ils s´accrochent au pouvoir pardon aux pétrodollars car ils ne se contentent pas de décennies de pillages.

    Pillage de TAMAZGHA.

  3. benbella ministre arabe du GPRA, autoproclamé comme président en 62
    1965 Boumadien est son armé flniste revolutionnaire (l´actuel anp)le pousse á la sortie avant que ce deriser s´autoproclame aussi comme présiden
    1976 le premier doustoure est met en avant et avec l´intronisation de la politique l´arabisation et le decoupage politico-administratif commance de prendre forme
    1979 c´est finis le tawri est mort
    chadli reprend sa place suivant sa ligne poiltique(toujours le fln maitre du terain)
    1988 suite a des graves dysfonctionnement du systéme due à son surendetement, le peuple commance de s´affamé, perd patience avant s´explosé(alger 500 morts) obligé de recourir aux pret du fond monitaire international acheté, les medicaments, les vivres etc.

    1992 chadli jet l´eponge sous le fond de la préssion islamiste qui a occupée tout le épaces public, toujours à alger,parceque tout les municipalités tombé entre leur mains(les algerois ont voté massivemt pour le fis)

    1992, la création du HCE, Boudiaf désigné comme son président, assassiné la meme année
    Zeroual passe quelques année comme président jusqu´a 1999

    1999-2015 BOUTEFLIKA,le régime est complètement bolqué et s´enfonce dans la crise sans aucune autre alternative, le scénario à l´octobre 88 de plus en plus se déssine mais difficile de prévenir son issu

  4. tic-toc-tic-toc….
    ce n’est qu’une question de temps, ce semblant de pays va exploser en mille morceaux, je suis conforté dans mes idées voilà il y’a 25 ans.
    au debut des années 90 tout le monde s’excitait à dire qu’on est en democratie, que l’angerie vas etre parmis les pays civilisés.tout les acteurs de la scene politique le pensait. faut etre un aveugle, un borné, un ignorant pour penser ainsi.
    à ceux qui croient encore, voilà la réalité devant vous. pendant ce temps que vous attendez, vos enfants cherchent un monde meilleurs ailleurs, ferment les routes, se cherchent leur identités, fanatisés par l’islam, abrutis par l’ecole, deviennent quémendeurs de ce qui leur appartient et par dessus tout, tués par leur services de sécurité
    c’est pour cette raison que je suis du MAK, la Kabylie dans un sursaut d’orgueuil, vas s’en sortir car plus organisée contrairement aux autres regions…

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