50 Ans d’indépendance et d’inertie

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Aujourd’hui, compte tenu de ce qu’est devenu ce pays, je me demande si ça n’a pas été une prédilection ou une moquerie intellectuelle.
En l’absence d’une réflexion politique, économique, sociologique, industrielle et intellectuelle qu’elle mérite en considération de la richesse de son sou-sol et de son potentiel humain ainsi que de son historicité millénaires, l’Algérie est tombée, comme toujours, entre les mains des personnes avides de pouvoirs personnels maniant à la perfection la dictature et l’autoritarisme dilués dans le machiavélisme, le populisme et l’illusion.

A défaut de présence de perspective à laquelle s’ajoute le blocage en tout genre, l’achat de la paix sociale par la dilapidation des richesses et la paupérisation de la population, la fuite des élites plurielles ainsi que de nos jeunes et moins jeunes vers des cieux meilleurs et cléments au prix même de leur vie, ne seront-ils pas des ingrédients qui nous mèneront demain à des situations déjà perceptibles et craintes, mais non souhaités. Après 1980,1988, la décennie noire et 2001, l’Algérie espérait voir des jours meilleurs. Hélas! il n’en fut rien, ou plutôt non, il y eut un changement dans le système par les formes, tel que le semblant de liberté d’expression et une pluralité partisane , destiné beaucoup plus à la consommation extérieur qu’à la réelle ouverture démocratique, républicaine et sociale.

La fermeture du champ politique hors sérail de la tribu des décideurs ainsi que la nomination césarienne, après cinq mois de léthargie et de palabre ruineux à l’Algérie, d’un nouveau premier ministre issue de la même famille et par le fait d’allégeance au prince et aux attenants; en sont des plus illustrations de non gouvernance depuis le 03.07.1962. En un mot, depuis cette véritable date du recouvrement de son indépendance territoriale, l’Algérie frappée d’inertie et malade de ses gouvernants illégitimes et illusoires est devenue comparable à une montagne qui accouche à répétition d’une souris.

M.AM

1 COMMENTAIRE

  1. {{les déficits d´éducation Algerienne crée des malades mentaux chez nos enfants :}}
    Nous somme victimes du système pédagogique Algérien par leur {{système d´Arabization généralisé}} et forcée ! l´Arabisation est un phénomène qui progresse négativement et produit une maladie s´appel : {{la Dyslaxie}} .
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Dyslexie
    Ce psychopath de BenBouzid porte atteinte à notre système d´éducation de Tamazight , sorte
    d´un crime culturelle et scientifique , il a injecté cette malade dyslaxie par une indifférence et un déséquilibre pour le but de détruite l´éducation de Tamazight dans les écoles Algérienne et
    freiner tout progrés de cette langue dans sa propre terre Tamazight .
    la méthode d´apprentissage et la maîtrise de la langue Tamazight dans les différentes région Amazighophone , par example :
    La Kabylie ( transcrire Tamazight en Latin )
    Chawia (transcrire Tamazight en Tifinagh )
    M´zab ( transcrire Tamazight en Arab )
    {{J´espère que nos élites peuvent suivre en justice ce psychopath et doit etre juger pour ce qu´il a fait et planifié pour détruire notre langue maternelle .
    }}

    {{Généralitée sur cette maladie :}}
    La dyslexie est un trouble spécifique de l’apprentissage de la lecture, lié à une difficulté particulière à identifier les lettres, les syllabes ou les mots qui se manifeste en l’absence de tout déficit visuel, auditif ou intellectuel et malgré une scolarisation adéquate. La dyslexie entraîne souvent des difficultés orthographiques associées. On parle de dyslexie acquise (ou alexie) pour caractériser les déficits de lecture qui apparaissent à la suite d’une lésion cérébrale chez des personnes qui lisaient tout à fait normalement avant cette atteinte du système nerveux central. Par ailleurs, le terme de dyslexie, est le plus souvent utilisé pour renvoyer aux difficultés spécifiques qui se manifestent chez l’enfant au moment de l’apprentissage de la lecture. Ce trouble d’origine génétique se manifeste indépendamment du contexte éducatif, social, ou psycho-affectif de l’enfant. Le contexte joue un rôle important dans l’expression du trouble mais n’est pas à l’origine des difficultés rencontrées. La dyslexie a été reconnue comme un trouble du développement des acquisitions scolaires par l’Organisation mondiale de la santé en 1991 qui estime qu’elle touche de 8 à 12 % de la population[réf. nécessaire], dont 5 à 15 % des enfants1. Son diagnostic est établi au moyen d’un bilan pluridisciplinaire mené par un professionnel médical et divers acteurs appartenant à des professions paramédicales, bilan qui permet d’éliminer d’autres causes et de caractériser le type de dyslexie pour lui apporter les réponses les mieux adaptées en termes d’aménagement scolaire, prise en charge et remédiation. Pour le moment, il n’existe aucun examen paraclinique permettant d’aider au diagnostic, mais il semble que certaines méthodes d’imagerie médicale soient capables d’identifier les mécanismes de compensation qui sont efficaces pour surmonter le trouble2.
    De nombreuses études scientifiques ont permis d’identifier des facteurs génétiques impliqués dans l’étiologie de la dyslexie. Néanmoins, ce trouble de la lecture reste très dépendant de l’environnement socio-linguistique : en particulier, la dyslexie est d’autant moins handicapante que la langue est plus transparente. Ainsi, les enfants dyslexiques qui doivent maîtriser des langues transparentes comme l’italien ou l’espagnol lisent le plus souvent sans erreur ; leur trouble se manifeste essentiellement par une lenteur de lecture. Au contraire, les dyslexiques font de nombreuses erreurs (déformations des mots) dans des langues plus opaques comme l’anglais ou le français ce qui affecte à la fois la justesse et le temps de lecture. Pourtant, la notion de dyslexie de l’enfant reste toujours en débat. Si la grande majorité des scientifiques sont dans l’ensemble d’accord pour reconnaître son origine biologique, d’après certains spécialistes, en particulier en France, elle représenterait une médicalisation excessive de questions pédagogiques et psycho-sociales

    Ur tanmirt .

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